28 juin, mardi
Pour faire ce blogue, je me fais un brouillon à la roulotte et lorsque c’est possible de se connecter sur wifi comme cet avant-midi, au Safeway drug & store, nous nous installons dans le parking et bingo ! Vous êtes rendus à Winnipeg. Par la même occasion, nous allons voir si nous n’avons pas des courriels sur nos sites msn pour moi et videotron pour Yves. Voilà pour les communications.
Aujourd’hui, rendez-vous au musée de la Monnaie Royale Canadienne à midi pour une visite guidée. Il y a deux monnaie royale : une à Ottawa pour les pièces de collection et celle-ci, pour la monnaie ordinaire. Désolée, pas de photos pour une raison de sécurité. Yves a photographié l’allée des drapeaux, c’est-à-dire tous les pays pour qui nous avons frappé de leur monnaie. (Environ 75 pays) il a pris en photo aussi le musée, car il le trouvait intéressant.
En après-midi, nous sommes allés au musée de Saint-Boniface, où on raconte la vie des Canadiens Français et des Métis. Surtout la vie de Louis Riel, qui s’est rebellé contre le gouvernement canadien (pour injustices). Il fut accusé de haute trahison et pendu. Il fut un personnage marquant des débuts du Manitoba. Ce musée se trouve dans le couvent des Sœurs Grises venues de Montréal en 1844 pour y enseigner aux jeunes filles comment être de bonnes épouses et soigner les malades. C’est le plus ancien bâtiment dans l’Ouest Canadien construit en rondins de chênes. Les Francophones venus du Québec étaient appelés « les mangeurs de lard » Ils venaient dans l’ouest comme coureurs des bois pour faire le commerce des fourrures avec les Indiens pour la compagnie de la Baie d’Hudson ou sa concurrente, celle du Nord-Ouest.
C’est pour ça qu’il y a une importante population de Métis dans l’Ouest.
En soirée, petite marche de santé dans le camping. (Encore une phrase sans verbe.)Il est maintenant 22 hres du soir sur mon brouillon et , excusez-moi, pas de p’tites farces ce soir, Yves est déjà couché . Pas moyen d’aller écrire ailleurs, la maison est trop petite. Bye tout le monde. On peut dire que lorsque nous sommes partis, il se passait beaucoup d’événements et de changements pour la plupart d’entre vous. J’espère que vous allez tous bien, je pense souvent à vous.
Pour faire ce blogue, je me fais un brouillon à la roulotte et lorsque c’est possible de se connecter sur wifi comme cet avant-midi, au Safeway drug & store, nous nous installons dans le parking et bingo ! Vous êtes rendus à Winnipeg. Par la même occasion, nous allons voir si nous n’avons pas des courriels sur nos sites msn pour moi et videotron pour Yves. Voilà pour les communications.
Aujourd’hui, rendez-vous au musée de la Monnaie Royale Canadienne à midi pour une visite guidée. Il y a deux monnaie royale : une à Ottawa pour les pièces de collection et celle-ci, pour la monnaie ordinaire. Désolée, pas de photos pour une raison de sécurité. Yves a photographié l’allée des drapeaux, c’est-à-dire tous les pays pour qui nous avons frappé de leur monnaie. (Environ 75 pays) il a pris en photo aussi le musée, car il le trouvait intéressant.
En après-midi, nous sommes allés au musée de Saint-Boniface, où on raconte la vie des Canadiens Français et des Métis. Surtout la vie de Louis Riel, qui s’est rebellé contre le gouvernement canadien (pour injustices). Il fut accusé de haute trahison et pendu. Il fut un personnage marquant des débuts du Manitoba. Ce musée se trouve dans le couvent des Sœurs Grises venues de Montréal en 1844 pour y enseigner aux jeunes filles comment être de bonnes épouses et soigner les malades. C’est le plus ancien bâtiment dans l’Ouest Canadien construit en rondins de chênes. Les Francophones venus du Québec étaient appelés « les mangeurs de lard » Ils venaient dans l’ouest comme coureurs des bois pour faire le commerce des fourrures avec les Indiens pour la compagnie de la Baie d’Hudson ou sa concurrente, celle du Nord-Ouest.
C’est pour ça qu’il y a une importante population de Métis dans l’Ouest.
En soirée, petite marche de santé dans le camping. (Encore une phrase sans verbe.)Il est maintenant 22 hres du soir sur mon brouillon et , excusez-moi, pas de p’tites farces ce soir, Yves est déjà couché . Pas moyen d’aller écrire ailleurs, la maison est trop petite. Bye tout le monde. On peut dire que lorsque nous sommes partis, il se passait beaucoup d’événements et de changements pour la plupart d’entre vous. J’espère que vous allez tous bien, je pense souvent à vous.